• c't'un peu difficile.

    Alors voilà, s'il vous a été donné de voir Je suis une légende avec Will Smith, il ne vous aura pas échappé (et j'avertis tout de suite le lecteur ou la lectrice que je vais parler ici de la fin de ce film et qu'en conséquence, si vous ne l'avez pas vu ete que vous souhaitez le faire, il vaudrait mieux cesser immédietement la lecture de ce post sinon je vais vous gâcher - ce qiu ne me déplairait pas forcément - la vision du-dit film) qu'à la fin (je réitère, lectrice, lecteur, si tu ne l'as pas vue te que tu souhaites le voir, c'est now or never pour ne pas te gâcher la fin du movie) Will Smith meurt.

    Il meurt, et la demoiselle, flanqué du gamin s'en vont dans le Vermont avec le sang qui pourra servir de serum au virus qui a décimé la population mondiale. Que pouvait on en déduire ? Que le virus, hors de l'antidote ne permettait pas l'humanité, qu'en fait le virus rangeait l'humain du côté animal, incapable de ne pas réagir à ses instincts. Transposez cela aujourd'hui, dans un monde dans lequel le terrorisme islamiste est l'ennemi et dans lequel le choc des civilisations à craindre se ferait contre des personnes assoiffées de sang, d'abominables terroristes anti-civilisation, bref des animaux avec lesquels l'on ne pourrait pas s'entendre tant ils seraient devenus des animaux. Bref... Ce n'est pas nouveaux que ce soient L'invasion des profanateurs de sépultures ou Le Village des damnés, le demi-siècle précédent avait connu son lot de films plus ou moins métaphoriques anti-communistes (ou anti-nazis comme Les visiteurs du soir ou M le Maudit).

    Là où cela devient particulièrement intéressant, c'est qu'il y a une fin alternative qui a été tournée, et montée, pour "Je suis une légende" dans laquelle l'un des morts vivants, en dessinant un papillon avec son sang, fait comprednre qu'il veut récupérer la femme-cobaye dont est issu le serum. Il est mu par l'amour de cette femme. Et ourier">Il meurt, et la demoiselle, flanqué du gamin s'en vont dans le Vermont avec le sang qui pourra servir de serum au virus qui a décimé la population mondiale. Que pouvait on en déduire ? Que le virus, hors de l'antidote ne permettait pas l'humanité, qu'en fait le virus rangeait l'humain du côté animal, incapable de ne pas réagir à ses instincts. Transposez cela aujourd'hui, dans un monde dans lequel le terrorisme islamiste est l'ennemi et dans lequel le choc des civilisations à craindre se ferait contre des personnes assoiffées de sang, d'abominables terroristes anti-civilisation, bref des animaux avec lesquels l'on ne pourrait pas s'entendre tant ils seraient devenus des animaux. Bref... Ce n'est pas nouveaux que ce soient L'invasion des profanateurs de sépultures ou Le Village des damné


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